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Qui suis-je ?

Je m'appelle Claire Dieudonné.
Je suis enseignante depuis le siècle dernier (1998) : une ancienne quoi !
J'ai pratiqué dans tous les niveaux de classe de l'école élémentaire
(et ouais, il me manque la maternelle).
J'ai aussi, au tout début de ma carrière, enseigné à l'EREA d'Asnières-sur-Seine (le vrai grand bain pour commencer : j'y ai mangé mon pain tout noir,
mais j'ai beaucoup aimé en fin de compte).
J'adore mon métier, mais c'est un métier alors j'adore plus ma petite famille.
Je suis mariée à Monsieur Dieudonné (non pas lui, un autre, pas connu, grand, blond, les yeux bleus des mers du sud, le plus gentil des hommes... mon prince charmant quoi). Ensemble on a fabriqué un fils trop mignon (évidemment !)
Lorsque j'ai obtenu mon premier poste à titre définitif j'ai eu la chance de tomber dans une super commune qui offrait du super matos aux écoles alors j'en ai profité pour développer des compétences en informatique
(à partir de 2003 donc c'était pas des tablettes non plus, mais c'était cool).
Avec ces compétences j'ai été amenée à animer des formations pour des Profs des Ecoles sur le thème du numérique (les classes numériques, le TBI, tout ça).
Les ambitions qui m'animent maintenant ?
Partager ce que j'ai appris dans tous les domaines de mon métier.
Oh non, je ne sais pas tout, mais ce que je sais je veux en parler avec vous.
En 20 ans j'ai fait un bon petit bout de chemin sur la planète Ecole
et je n'en ai pas fini le tour.
J'ai l'intention de prendre un peu de hauteur maintenant et de rejoindre des équipes qui voudraient utiliser mes acquis dans le domaine du numérique.
La fonction de M.A.T. me motive plus que jamais car côtoyer la jeune génération est des plus stimulant et me donne l'envie de me renouveler encore.
Pour finir ce petit CV, j'ai envie de préciser que j'adore écrire, rire, m'amuser (probablement pour ça que je bosse avec des gamins).
J'adore aussi pousser la chansonnette et je dirige les chorales dans les écoles que je hante à coup de 3 ou 4 classes d'un seul coup.
Si ceux qui me connaissent devaient me caricaturer ils me percheraient sans doute sur mes éternels talons aiguilles en m'affublant d'un long gilet qui ne quitte jamais mes épaules. Un sourire immense fendrait mon visage je suppose et mes lunettes de vieille seraient sûrement coincées sur le haut de ma tête.
En dehors de l'école ils me colleraient à coup sûr
une chope de bière dans la main.
...FIN du début...
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